Un site subversif...

Petite histoire du site, pour essayer de comprendre.

Nous avons eu l'idée de créer un site pour exposer ce que nous faisions avec nos élèves, dans le cadre de la Jeune Comédie.
Respectueux des institutions, j'ai demandé ( Je = Dominique Rieffel) à l'Inspection Académique d'héberger notre site. Pas de problème, et nous avons fonctionné ainsi quelques années.
Pour des raisons techniques liées à la sécurisation des connections internet, l'IA ne pouvait plus nous héberger, il aurait fallu que je gère le site dans les locaux de l'IA : avec l'accord des services officiels, le site a alors été hébergé par 1&1.
Personne ne nous a jamais demandé de suivre un quelconque cahier des charges, et j'ai continué à mettre en ligne nos réunions, nos rencontres et bien évidemment l'événement pour nous essentiel qu'est le festival, avec la dérision que me semblait autoriser notre investissement.
Certains services de l'IA voudraient aujourd'hui que le site, qui rend compte d'un travail accompli sous l'égide de l'Inspection, rentre à nouveau dans le cadre officiel : on éviterait, grâce au comité de relecture, des dérives éditoriales telles que celles-ci (je cite le dernier compte-rendu, que l'IA a relevé et nous a réellement reproché) :
Les convocations : administration, aléatoire et féérique.
Elles ne sont pas toutes arrivées, il semble que leur envoi comme leur réception obéisse à un autre ordre que celui qu'on pensait maîtriser. Fayçal fait le point sans se pencher, et c'est étonnant, sur les conclusions métaphysiques que ce constat devait logiquement induire. On le surprendra d'ailleurs à plusieurs reprises faisant preuve d'un étonnant pragmatisme…


Je m'interroge sur ce qu'il nous serait alors possible d'écrire, je me demande ce que le comité de relecture nous permettrait de jouer, je pense à toi, Candide...

Pour l'équipe de coordination, DR